Elektric Park 18 : Le SUM UP

Un des meilleurs festivals que j’ai fais en terme d’ambiance

 

Je connaissais déjà le festival du temps de l’Inox et j’avais participé il y a quelques années comme gagnante Fun radio pour aller soutenir mes chouchous de l’époque : The Geekmen.

 

Partie 5 ans à Londres avec un rythme de vie de dingue ( genre création d’entreprise), je n’ai jamais pris le temps de revenir. Mais depuis quelques mois, je suis de retour en France et j’ai écris plusieurs fois sur cet événement de passionnés de musique électro comme moi. Il était temps que j’y retourne pour tester et tout vous raconter sur le blog.

 

Malgré une fatigue de dingue post Cabaret Vert , j’avais de très bons feelings sur cet événement in Chatou City. Alors, j’ai pris mon sac à dos, une chambre sur Booking, la photographe pour le grand Jour et c’était parti !

 

 

Premières impressions : trop de bonnes vibes

 

First impressions ?  Hyper positives ! Parmis tous les festivals que j’ai fais (même ceux en Angleterre), j’ai trouvé les gens clairement très ouverts, souriants et positifs (après, c’est certain que j’étais déjà dans de bonnes vibes à la base.)

Disons que, habituellement, les journalistes me toisent (vous connaissez les journalistes qui dénigrent les blogueurs en les stigmatisant ? Bah c’est cela en fait. Mais bon, moi je fais un peu ce que je veux quand je veux et je m’en fiche un peu.)

Mais là, pas du tout ! On s’échangeait les câbles d’iphone entre nous (#Instagramgalere), l’équipe de la com’ était tout sourire, les bénévoles mis en mode “nous on est déguisés, on est des fous !”

Les jeunes arrivaient tous ensemble et faisaient des danses de groupes, les filles te hug parce que t’as un beau chapeau (WTF), les guys avec qui je cheers…etc Bref trop de positivité, j’ai pas compris ! Et franchement, ça fait tellement du bien de rencontrer des gens simples et heureux de se lâcher sur de la bonne musique.

Et on en parle de cette Marseillaise à minuit sur le chemin du retour ? HAPPY FACES !

Le setting

 

Le décor était encore plus grand et plus beau qu’avant (comparé à la fois précédente), la scène yellow était si impressionnante que même pour prendre des lives, il ne fallait pas trop avoir le vertige !

La green stage était aussi une scène sympathique avec des stands et des manèges autour.

La scène hardstyle est un autre délire, on aime, ou pas (je ne développerai pas trop sur cette musique que je n’écoute plus trop). Les food truck pleuvaient et les serveurs étaient hyper cools.

Seul bémol : on a eu un petit souci technique sur le bracelet qui permettait de payer les consos, pourtant c’était une belle invention geek sorti de la soucoupe de Joachim Garraud.

Les décomptes à chaque artiste étaient géniaux et les lancées de couleur sublimes à l’image.

 

L’essentiel : LA MUSIQUE

Je respecte tous les médias et tous les blogs de musique et de festivals. Mais ce qui m’intéresse moi : c’est le son, comme tous les amoureux de la musique électro. C’est peut être pour ça que je n’ai senti aucune tension à l’Elektric Park, on était tous unis autour de cette musique.

Ce que je voulais voir, c’était le feu qu’il y a sur scène (et pour le coup, j’ai été servie au sens propre comme au figuré…). Qu’est-ce qu’li ya de mieux que de voir des personnes danser, de voir des gens heureux ? C’est bête mais même si à la fin, j’étais épuisée et j’avais froid, je suis restée à attendre le final, le sourire aux lèvres.

 

Déjà le line-up m’intéressait beaucoup et de toute façon même s’il y avait uniquement Joachim Garraud, je viendrai quand même !

J’ai clairement fait une belle découverte musicale sur la Green stage avec Coquillage et Crustacé, des gars qui font peur déguisés mais qui ont l’air bien chill.

La folie de Chatou continue en photos…

J’ai adoré la disco house good mood de Bon Entendeur qui a fait danser tout le monde.

Fakear a envoûté la stage sous le soleil de Chatou avec un son éthnique et onirique.

Feder a tout explosé en même temps que les énormes flammes de la scène yellow. La vidéo ci-dessous parlera peut être mieux…

Je suis allé régulièrement en bas de la scène pour me mêler aux music lovers et tester la température.

J’ai alors découvert Sven Vath sur la Green stage comme un bon before de soirée en mangeant des frites mayo (les vraies choses de la vie).

Puis, Elektric Park a lâché le fauve DJ Getdown et son acolyte Roman Yeager (“Il a pas dit bonjouuuur” Il comprendra. lol ) et là, comme on dit à Londres, c’était “LIT”! J’ai aimé les grosses références Hip Hop US de DJ Getdown.

On a travaillé, travaillé, travaillé. Quand vous voyez les articles, les photos et les vidéos, vous vous dites : “Ils ont kiffé”! Oui, C’EST VRAI sauf que techniquement, il fallait quand même être à l’heure pour les sets et faire la queue pour avoir accès à la stage afin de prendre des photos.

Le hic : c’est que pour les artistes comme DJ Getdown et Joachim Garraud, il y avait tellement de “guests”  conviés à venir sur la scène que certains médias et photographes (comme nous) n’ont pas pu prendre des photos de prés, au détriment donc des artistes…

On a des belles photos de certains du coup mais pas de tous. Quand on aime ce qu’on fait, on veut toujours le mieux, c’est un peu normal. C’est frustrant mais c’est comme ça. J’espère que vous apprécierez quand même le résultat et que ce message honnête sera transmis. Ce serait la seule chose à revoir pour moi.

 

Après avoir laissé tous les artistes que j’adore passer devant moi sans même oser aller les voir (la timide en plastique). J’ai décidé enfin d’aller voir Michael Canitrot que je suis depuis longtemps (même avant les Reepublic)  et il a été d’une gentillesse tellement déconcertante que cela m’a facilité la tâche. Musicalement, Il est plus dans la house, c’est mon école, ma génération donc je respecte encore plus. Ce que j’aime bien, c’est qu’il ne suit pas la mode du hardstyle ou de la trap, il reste authentique.

“Avant d’annoncer le prochain artiste” dit Joachim Garraud, le patron et présentateur de l’event, plein d’humour avant son propre set…

Le papa du Festival était aussi gérant de la bienveillance sur la Yellow stage et n’a pas manqué de sourire du début à la fin de l’Elektric Park.

Set de l’artiste : Générosité absolue, du pur bonheur qui s’est conclu par un hommage extrêmement touchant à Avicci qui était passé à l’Inox en 2011.

 

Enfin, on a été achevé en beauté par Aazar et Tony Romera sur une trap bien lourde. En même temps, c’est orchestré par un chef et un boucher (leurs surnoms) donc un régal !

Les assistants de la Yellow ont liquidé les derniers bidons d’essence pour faire tout péter et c’est comme cela que s’est achevé l’Elektric Park Festival Edition 2018.

 

 

Alors, est-ce que je recommande l’Electric Park ? Vivement !

J’espère que mes mots sincères vous ont plu, ainsi que les photos et la vidéo. Toutes les photos sont de 911 productions avec qui je collabore pour le blog. Alors, on se retrouve pour le prochain anniversaire de l’Elektric Park ?

XOXO COOKIE – THE COOKIE’S ROOM

Suivez-moi sur Instagram !

Follow: